Derrière la vitre du train, des vaches presque à l'abattoir, des arbres tués par l'automne, des champs désertés par les couleurs, et moi, assis bien au chaud dans la vie du wagon.
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Derrière la vitre du train, des vaches presque à l'abattoir, des arbres tués par l'automne, des champs désertés par les couleurs, et moi, assis bien au chaud dans la vie du wagon.
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4 commentaires:
oui mais bon ... train d'enfer quand même
A toute vapeur, j'en conviens
Je suis souvent dans cette disposition d'esprit. A l'intérieur.
Pour autant, pour avoir récemment voyagé en train, je me disais que le pays est bien joli, tout de même, dès que l'on a quitté Paris...
Oui, la campagne a cela d'avantageux, qu'elle ne cache pas ses mines tristes et ses futurs "cadavres" derrière des apparats et des couronnes de fleurs en plastique.
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