Complexe d'œdipe


Sur cette plage lisse aux relents de monoï, après avoir enterré son père dans le sable, un petit garçon de quelques années embrasse sa mère inlassablement. On peut entrevoir des feux d'artifice dans ses yeux et de la guimauve dans son cœur.

4 commentaires:

  1. Appas27 juillet 2009 à 18:48

    Horrible. Poésie disneyo-houellebecquienne. Bravo.

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  2. La Méduse et le Renard27 juillet 2009 à 18:50

    Merci Appas, ce sont les choses de la vie...

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  3. LaraH dit lara-staquouère27 juillet 2009 à 20:05

    Quand la vie s'ensable, les étoiles ne sont jamais loin pour éclairer les chemins les plus cachés ;-) Je suis en vacances et j'adore les guimauves ;-)

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  4. La Méduse et le Renard27 juillet 2009 à 20:25

    Bonne vacances, bonne crise de foie, et bonne étoile :)

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