A bout de force et humilié par la vie, il courut et se jeta du rocher pour atterrir dans le champ de pâquerettes, un mètre plus bas. Les yeux encore clos, il espérait que ce doux parfum était celui du paradis. Il lui suffit d'ouvrir les paupières pour voir qu'il y était bel et bien. Seul, au milieu des pâquerettes, au ras du ciel.
Très joli morceau poétique, assurément. Et visuel.
RépondreSupprimerMerci Appas pour ce doux compliment aux senteurs de paquerettes!
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