Le volant brulant entre mes mains, mes cheveux propulsés à l'horizontale par la vitesse, et tout autour de mon engin mécanique, le bitume d'une nationale parsemée de carcasses animales aplaties, aux formes géométriques complexes. Comme l'impression de rouler dans un cimetière à tombeau ouvert.
Manque que les fleurs, rares sur les routes.
RépondreSupprimerEt les plaques de marbre "A notre hérisson préféré"
RépondreSupprimerJe suis touché.
RépondreSupprimerMais je préférerais sur ma plaque : "Ci-gît Han, caravanier de métier."
éhéhéh, auquel on pourrait facilement ajouter "a succombé en changeant une roue avant droite"
RépondreSupprimerArf mon avenir est tracé alors...
RépondreSupprimer...enfin ma mort, reste plus qu'à voir comment arriver sur cette route.
Peut être qu'avec le coup d'la panne...
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