Que restera-t-il de toute cette mascarade? Du vent peut être, et quelques guirlandes de poussière accrochées aux nuages qui n'auront même plus la force d'illuminer les herbes des fossés. Et puis il y aura nous, le visage dans les mains, implorant un type qu'on n'a jamais vu, comme un gamin accrocherait un poster de superman au dessus de son bureau pour se donner du courage.
Dès le seuil de votre porte, tout un univers...
RépondreSupprimerCe que j'aime, c'est que vous ne ressemblez à personne.
Vous m'en voyez flatté Constance. Et comme il y a de belles photos chez vous, je vous mets dans mes liens...
RépondreSupprimerÇa devient poétique, ici. Et on ne s'en plaint pas.
RépondreSupprimerJ'espère que ça l'était un peu avant quand même...
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