Des nuées de papillons inonderont tes cheveux, des tapis de marguerites s'épanouiront sur tes pieds, des meutes d'oiseaux rares piailleront à tes oreilles, et je n'aurai plus alors que quelques secondes pour figer la scène dans le formol de mes yeux.
Tiens, ça me fait penser à une nouvelle de Roald Dahl. le connaissez-vous ?
RépondreSupprimerJe connais son oeuvre la plus populaire "Charlie et la chocolaterie", mais je n'ai rien lu d'autre de lui. Vous pensiez à une nouvelle en particulier?
RépondreSupprimerCela s'appelle la petite mort, non? ;-)
RépondreSupprimerAucune idée...
RépondreSupprimereuh...je parlais de l'état décrit et non de la nouvelle de Roald Dahl ;-)
RépondreSupprimer"Il peut se caractériser par d’autres actions involontaires : une baisse de la vigilance, les pupilles des yeux qui se dilatent, une lubrification des organes génitaux, des vocalisations (râles, cris, soupirs, etc.), une respiration accrue dont l'apport d'oxygène décuple les sensations, des spasmes du visage, des contractions musculaires diverses (le coït étant physique par nature, de par ses « va-et-vient »), une rougeur de la peau, une excitation des mamelons, etc ; pour aboutir au « point de non retour » qui déclenche une intense jouissance physique[1].
RépondreSupprimerC’est la conclusion de la phase en plateau par la relâche de la tension sexuelle, accompagnée d'une série de contractions musculaires rapides entourant les régions de l’anus, des muscles du périnée et des organes génitaux, avec l'éjaculation de sperme, ou moins fréquemment de fluides chez les femmes.
Une sensation euphorique généralisée est ressentie, qui sera dès lors accompagnée de la dernière phase : la résolution de la tension sexuelle, un apaisement."
Evidemment, je préfère de loin ta description ;-)
Ah! Autant pour moi...Il n'y a pas de petite mort ;)
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