Combien de gracieux chevaux, de fourbes renards, de méduses scintillantes, d'écureuils apeurés, de loups affamés, de chouettes hulottes cotonneuses, de bactéries discrètes, de mouettes dentelées, de biches effilées, et de poissons volatils, sont morts sous les plumes pour sauver la poésie ?
combien ?? et cette photo est terrifiante !
RépondreSupprimerElle est tirée du film "Winnipeg mon amour"
RépondreSupprimerOui cette photo est vraiment vraiment terrifiante. J'espère que mes tentatives poétiques ne provoquent pas un tel carnage...
RépondreSupprimerOui on n'a pas l'habitude de voir des chevaux glacés...
RépondreSupprimerEt bien pas assez ! :o)
RépondreSupprimerTout de même...
RépondreSupprimereuh, y en a beaucoup qui sont sans plume en ce moment ;-) Espérons que la lueur d'inspiration les guidera jusqu'à chez moi... ;-)
RépondreSupprimer"Longtemps, longtemps, longtemps
Après que les poètes ont disparu
Leur âme légère et leurs chansons
Qui rendent gais, qui rendent tristes
Filles et garçons
Bourgeois, artistes
Ou vagabonds."
On fini toujours par se remplumer ;)
RépondreSupprimerles chevaux du lac Ladoga. Ca me rappelle Malaparte.
RépondreSupprimerJe ne connais pas vos sources, mais ça sonne bien
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