Oubliés



Des épines dans les doigts, des moucherons dans les yeux, des renards dans les pare-chocs, des immeubles dans les vertes prairies, des cataclysmes dans les artères du monde, et des tristesses encore plus grandes dans le cœur des oubliés endormis dans les fossés de la vie.

10 commentaires:

  1. ArD3 décembre 2009 à 12:48

    ... comme un cerveau rongé par une hallucination permanente, une sorte de pathologie neurologique.

    RépondreSupprimer
  2. La Méduse et le Renard3 décembre 2009 à 13:56

    Ah oui?

    RépondreSupprimer
  3. ArD3 décembre 2009 à 14:41

    Oui, une sorte de gangrène sublimatoire !
    --
    N.B. : Je sens que je suis à côté de la plaque ;-)

    RépondreSupprimer
  4. La Méduse et le Renard3 décembre 2009 à 14:43

    Mais non, tu n'es pas à côté, chacun son interprétation ;)

    RépondreSupprimer
  5. ArD3 décembre 2009 à 14:54

    Bien sûr (je souriais en écrivant cela) et comme il y a quasiment autant d'interprétations que de lecteurs, il n'y a pas de plaque.
    La diversité des interprétations est la jolie rançon des auteurs, je crois.

    RépondreSupprimer
  6. La Méduse et le Renard3 décembre 2009 à 14:55

    C'est beau ce que tu dis... ;)

    RépondreSupprimer
  7. Anonyme3 décembre 2009 à 22:21

    hé mister Fox, c'est pas vous au moins là sur l'image ?? faut pas nous faire des frayeurs comme çà hein ??

    RépondreSupprimer
  8. La Méduse et le Renard3 décembre 2009 à 22:23

    As-tu déjà vu un vrai renard écrire sur un ordinateur? De ta réponse tu déduiras ;)

    RépondreSupprimer
  9. Anonyme3 décembre 2009 à 22:29

    c'est mon côté émerveillé que veux tu ... mais ouf quand même

    RépondreSupprimer
  10. La Méduse et le Renard3 décembre 2009 à 22:30

    :)

    RépondreSupprimer