Des mégots courent sur le bitume. Le vent enlève des feuilles innocentes. On a dressé sur le goudron des crottes de chien pour rendre un culte à je ne sais quelle idole merdique. Les pots d'échappement fument plus que de raison, crachant leur brouillard sur ce qu'il reste de couleurs à la rue. Les matins par la fenêtre sont des romans de gare déguisés en polars.
Très "Bashungien", LA nuit je mens...j'adore
RépondreSupprimerj'aime bien ce délire de cité
RépondreSupprimerAh oui? Si tu le dis...
RépondreSupprimerOui Kouki, bienvenu à la cité ;)
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