C'est plutôt inexplicable mais c'est comme ça. L'envie d'accorder toute sa confiance aux yeux cernés, aux cheveux hirsutes, aux chats qui s'enfuient, aux vieilles cordes enlacées dans les granges, aux sourires des inconnus, aux derniers rayons de soleil, aux cris blasphématoires des carnassiers, à l'éternelle dictature des ronces qui petit à petit font leur nid dans le foutoir du monde.
'tain, magnifique celui là !! que j'aimerais l'avoir écrit !
RépondreSupprimerMerci beaucoup, tu sais bien que t'en écris du supers jolis toi aussi ;)
RépondreSupprimerle désordre ,
RépondreSupprimerle fouillis à mordre,
oui!
:)
RépondreSupprimerroolala, une merveille, suis revenue le lire
RépondreSupprimerBin dis donc! Si j'avais su...
RépondreSupprimerTraversées fulgurantes des chats, des furets, des loirs,
RépondreSupprimerobstination accrochée des ronces.
Dacodac avec Kouki. Chapeau bas la Méduse !
RépondreSupprimerCa me donne des Zailes, merci!
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