je vois bien cette phrase comme le début d'un roman de science fiction poétique. le livre commencerait chaque fois par une phrase de début de roman. le livre ne serait qu'une suite de premières phrases. et le roman commencerait par celle-là. car elle donnerait le ton. elle dirait on ne rigole plus maintenant. on va faire de la science fiction poétique les mecs. alors accrochez vous à la fusée. et pas de commentaires ok ?
dès que ça ira un peu mieux financièrement je me jetterai sur tes chats borgnes, sur le livre de Thomas et celui de Patrick ou bien alors je braquerai les locaux d'asphodèle et retiendrai tous leurs poèmes en otage.
Comme il est m'est agréable, ce soir, de relire la Méduse et le Renard, de relire ce blog qui, ma foi, est le contraire exact d'un tout-à-l'égout...
RépondreSupprimerMerci Christophe...agréable de vous revoir par ici également
RépondreSupprimerje vois bien cette phrase comme le début d'un roman de science fiction poétique. le livre commencerait chaque fois par une phrase de début de roman. le livre ne serait qu'une suite de premières phrases. et le roman commencerait par celle-là. car elle donnerait le ton. elle dirait on ne rigole plus maintenant. on va faire de la science fiction poétique les mecs. alors accrochez vous à la fusée. et pas de commentaires ok ?
RépondreSupprimerC'est vrai que souvent j'ai l'impression de n'écrire que des débuts et des fins de roman....
RépondreSupprimertu as donc une facilité pour le plus difficile.
RépondreSupprimeréhéhéh, tu m'apprends quelque chose alors! Au fait j'ai fini Spiderland, un super bon bouquin!
RépondreSupprimerdès que ça ira un peu mieux financièrement je me jetterai sur tes chats borgnes, sur le livre de Thomas et celui de Patrick ou bien alors je braquerai les locaux d'asphodèle et retiendrai tous leurs poèmes en otage.
RépondreSupprimerC'est une vrai forteresse, fais gaffe à toi si tu braques Asphodèle!
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