L'horizon est un mur, la mer un crucifix, les touristes des apôtres dévoués, et les sauveteurs des athées qui plantent leurs yeux dans la réalité saisissante des vagues, depuis les lèvres inertes de la plage.
J'avais pas envie de fatalisme dans mon mot, mais... :-) Alors je me laisse espérer des jours tout nus, dans un ailleurs où rester assoiffé du monde, sans jamais entrer dans ce grand troupeau qui recouvre la terre de ses déchets aux heures chaudes de l'été.
Le tourisme est une secte, parfois.
RépondreSupprimerJ'ajouterais "toujours" ;)
RépondreSupprimerJ'avais pas envie de fatalisme dans mon mot, mais... :-) Alors je me laisse espérer des jours tout nus, dans un ailleurs où rester assoiffé du monde, sans jamais entrer dans ce grand troupeau qui recouvre la terre de ses déchets aux heures chaudes de l'été.
RépondreSupprimerBeaux projets que les tiens ;)
RépondreSupprimerTu devrais essayer. ;-)
RépondreSupprimer