Soldat des fausses guerres
La lente agonie de mes yeux sur tes hanches, mes mains tremblantes essaient de rejoindre le front par monts et par vaux. Cacher mes doigts dans tes rides naissantes. Ne plus bouger. Camper entre tes lacs oculaires et la forêt de tes cheveux.
3 commentaires:
Anonyme
15 août 2010 à 11:32
Très joli!
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Binoo
15 août 2010 à 21:35
Mmmmm... ;o) joliment dis !
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La Méduse et le Renard
15 août 2010 à 21:38
Merci à vous deux!
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Très joli!
RépondreSupprimerMmmmm... ;o) joliment dis !
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