Le ciel bleu qui peine à transpercer les nuages. L'animal blessé qui doit courir pour marcher. La voiture abandonnée aux ragondins des fossés. La pluie fine qui s'écrase sur les parapluies. Les sourires discrets dans les yeux des perdants. L'entrelacs d'ombres comme une partouze d'humains, d'arbres, et d'animaux. La fille triste, une larme à gauche pour le passé, une à droite pour le futur. Il faut voir comme le matin raconte avec brio les petits dilemmes de nos vies.
j'aime beaucoup, et la dernière phrase ... j'adore !
RépondreSupprimervoilà
C'est déjà beaucoup pour moi. Bonne journée Kouki ;)
RépondreSupprimerCette partouze là vaut son pesant de - pardon - d'épines !
RépondreSupprimeréhéhéh, en effet Nicolas !
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