De celles que le vent épouse
© photo : Brigitte Grignet
Rien ne ressemble plus
à la mélancolie
qu'une pesante solitude
courtisée par
le vent
1 commentaire:
Gatien
9 août 2014 à 10:25
Le vent se jette
Et le spleen guette.
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Le vent se jette
RépondreSupprimerEt le spleen guette.