Ils se sont assis Ils n'ont plus parlé Ils fixent le sol comme si c'était leur dernière chance Si seulement leurs yeux pouvaient faire pousser quelque chose
La voiture s'enfonce dans le brouillard La nationale est vide Une route perdue sur une autre planète Tu croises ce panneau Attention traversée d'animaux sauvages et te demande s'il parle des biches ou de toi
Les déambulations estivales m'avaient fait passer à côté de ce p'tit billet de François-Xavier Farine, à lire ici sur son blog "Le feu central". Un grand merci à lui !