Poème digestif


La nuit, arpentant les rues sur trois pattes, la salive figée au coin des lèvres, et imbibé d'une odeur de tord-boyaux pestilentielle, l'ivrogne déséquilibré se confie au ciel : "A moi les murs, la terre m'abandonne".

4 commentaires:

  1. Salut,
    Je me présente, moi c'est Marlène, tu m'avais laisser il y a déjà quelques semaines un message sur mon Flikr pour savoir si tu pouvais m'emprunter une de mes photos. C'est juste pour te dire que j'accepte. Et te dire aussi que je trouve tes petits récits tous aussi hurluberlus les uns que les autres et j'aime beaucoup cet univers.
    bonjour chez toi
    et à bientot.
    marlène

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  2. Merci Marlène, ta photo doit déjà être utilisée et tu la retrouveras en cherchant un peu dans les anciens posts!
    Bonne journée et merci encore

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  3. Des trois pattes aux murs en guise de ciel, voilà bien l'ivresse vagabonde et trotte-le-trottoir...

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