Des filles avec des fleurs au fond des yeux et des jardins enluminés dans le crâne, des hommes qui forment des rangées d'arrosoirs secs tout autour. Des filles aux rétines fertiles et pensées vagabondes et des hommes aussi secs que le sol d'une forêt après un incendie.
Les hommes comme des arrosoirs secs, belle et triste image.
RépondreSupprimern'est-ce pas...
RépondreSupprimerQuelle dialectique... Non !
RépondreSupprimerC'est très beau
Merci Aurélia, de retour!
RépondreSupprimerOui ! J'étais dans l'autre hémisphère. SUD. Buenos Aires...!
RépondreSupprimerQuelle fertilité livresque, dites donc ! Joie !