Edelweiss



Tes joues ne sont pas mouillées de la dernière pluie. Tes rêves flottent depuis longtemps sur des ruisseaux perdus dans les montagnes. Tu arpentes jours et nuits les hauteurs lacrymales. Rassure-toi, les edelweiss poussent à nos pieds dans le ciel fangeux des souvenirs.

2 commentaires:

LaraH dit lara-staquouère a dit…

Oui mais...des sillons gravés par les pleurs du temps sur des joues qui n'ont de cesse de vouloir fuir...Alors heureusement qu'il reste les edelweiss.

La Méduse et le Renard a dit…

Tout à fait madame!