© photo : Prac53
La pluie et ses milliards de lames, l'abondance des branches dans le vent, trop d'oiseaux pour un seul chat, les flaques taillées dans le sol pour des bateaux qui n'existent pas, l'omniprésence du ciel allongé sur le matin. Dehors chargé comme une barrique de vin nouveau, qui ne laisse pas la moindre place à nos plaintes.
5 commentaires:
J'adore ! :o)
Peut-être pour mieux laisser place à nos joies... :-)
Merci !
De quoi foutre la treille (en l'air).
éhéhéh!
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