Il sont assis sur le lit
Ils bavardent avec les yeux
Bientôt ils n'auront
plus rien sur eux
que des lèvres et des mains
Mais voilà que le stress
l'envahit
Il aperçoit le calendrier
sur le mur de la chambre
et se demande soudain si
ce n'est pas aujourd'hui
Il aimerait qu'ils se dépêchent
à ôter leurs sous-vêtements
Qu'ils se précipitent
l'un dans l'autre
sans perdre une minute
Il aimerait avoir le temps
de faire ça
même rapidos
et ils ne devraient pas
traîner comme ça
car il se demande vraiment si
ce n'est pas aujourd'hui
Ils bavardent avec les yeux
Bientôt ils n'auront
plus rien sur eux
que des lèvres et des mains
Mais voilà que le stress
l'envahit
Il aperçoit le calendrier
sur le mur de la chambre
et se demande soudain si
ce n'est pas aujourd'hui
Il aimerait qu'ils se dépêchent
à ôter leurs sous-vêtements
Qu'ils se précipitent
l'un dans l'autre
sans perdre une minute
Il aimerait avoir le temps
de faire ça
même rapidos
et ils ne devraient pas
traîner comme ça
car il se demande vraiment si
ce n'est pas aujourd'hui
Mais trou noir
impossible de se souvenir
de quel jour parlent
les Mayas
de quel jour parlent
les Mayas
8 commentaires:
http://www.lemonde.fr/planete/article/2012/05/01/un-humain-sur-sept-croit-a-l-imminence-de-la-fin-du-monde_1693816_3244.html
ferais-tu des 10% (10% !!!!!) ?
si oui, prends quand même ton temps, ne déchire pas les habits de ta pin-up, t'as jusqu'au 21 décembre !
éhéh, je ne parle pas toujours de moi dans mes poèmes, heureusement ! ;)
ça date ! 1952 !
Oui, pas tout jeune le calendar !
Pas le choix dans la date mais dans l'émoi de décembre ?
Toujours le mot juste, Luc ! ;)
Je n’avais pas pressenti la chute.
C'est très réussi.
J'ai beaucoup aimé :)
:)
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