Je porte un toast


À toutes
les petites secondes
kamikazes
planquées au fond
des sales quarts d'heures

2 commentaires:

Cédric Bernard a dit…

Je suis, ces secondes ont d'ailleurs pété à la gueule aujourd'hui, comme autant d'heures, tout les quarts d'heure de cet après-midi.
Heureusement, reste ce trou intact au milieu de la tronche pour le breuvage.

On s'en cogne, y'en aura d'autres, mais cette petite prose champigonne bien la journée !

La Méduse et le Renard a dit…

;)