Jusqu'à disparaître


2 commentaires:

Une Nouille Martienne a dit…

ça m'a fait penser à "L'homme qui rétrécit" (nouvelle de Matheson il me semble) où la fin du visible n'est que le début d'un autre monde ... juste une question de frontières physiques, de perspectives !
l'intérêt d'un poème n'est pas seulement dans la rime ou la musicalité, il faut qu'il empoigne les tripes et questionne l'esprit Pari réussi

La Méduse et le Renard a dit…

Jamais lu cette nouvelle, mais d'accord avec tout ça ;)