Mécanique physiologique


Le cycle de la vie voudrait qu'on ait en permanence quelqu'un derrière et quelqu'un devant, qu'on soit à la fois proie et prédateur, une sorte de partouze physiologique, une chaîne métallique robuste dont nous serions les maillons, tous liés les uns aux autres, cernés devant comme derrière.
Ainsi deviendrais-tu ma pince coupante.

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