Soldat des fausses guerres


La lente agonie de mes yeux sur tes hanches, mes mains tremblantes essaient de rejoindre le front par monts et par vaux. Cacher mes doigts dans tes rides naissantes. Ne plus bouger. Camper entre tes lacs oculaires et la forêt de tes cheveux.

3 commentaires:

Anonyme a dit…

Très joli!

Binoo a dit…

Mmmmm... ;o) joliment dis !

La Méduse et le Renard a dit…

Merci à vous deux!