© photo :Martin Andreasen
Les grands espaces, la liberté des yeux, des corps, des mouvements. Langues au repos et bouches bien closes. La perte des repères, la naissance des instincts, le déplacement des ombres. L'appréciation des sons dans le mutisme de la terre. Un labyrinthe sans parois où il est encore possible de s'égarer. Le seul endroit où perdre pied rend plus vivant.
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